23 mars 2006
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Il est dentiste. Il nous a fait rire en parlant de sa secrétaire qu’il surnomme « la Saucisse ». Un jour il l’en entendue dire à sa copine :
[HARD] Il n’y avait pas de meuble dans notre appartement. Juste une épaisse moquette couleur de feu, achetée d’occasion. Il était allongé, nous assis à ses côtés. Nous nous sommes mis nus. Il a ouvert les yeux et a dit : « Mon dieu, que vous êtes beaux ! » Puis il a quitté ses habits lui aussi. J’ai vu son sexe se dresser quand elle l’a caressé. Il l’a embrassée longuement, puis il s’est allongé sur moi en posant ses lèvres sur les miennes. J’ai un peu desserré les dents. J’ai senti son sexe dur s’entrechoquer avec le mien. C’était drôle mais je n’ai pas aimé ; je n’ai pas aimé sa bouche, sa langue, non, rien à faire, je ne peux pas être attiré par un homme, même celui-là si beau, si drôle, avec une peau douce comme celle d’une femme. Alors je me suis allongé à son côté. Je l’ai regardé caresser la belle femme. Ah, quand même, il apprécie… Puis j’ai pris son sexe dans la main pour en sentir la consistance. Mais plusieurs fois il m’a dit que je le serrais trop fort. Je me demande si, inconsciemment, il n’y avait pas quelque chose en moi qui cherchait à détruire ce sexe, au point que je ne sente pas ma force. La bite du coiffeur, peut-être. J’ai abandonné cette caresse. Il est allé vers la femme et s’est allongé sur elle. J’ai vu leurs sexes très proches, c’était magnifique. Mais, à un moment, bizarrement, il a dit un mot qui rompait la magie. Elle n’a plus voulu de lui en elle. Il s’est allongé sur le côté, face à elle, entre nous deux. La suite, je ne peux pas la raconter sans changer de catégorie. ;-) [/HARD]
Nous avons passé un beau dimanche, dans les rues, lui essayant de nous persuader qu’il y a bien plus d’hommes que de femmes consommables. Ouais… Puis nous sommes rentrés pour d’autres jeux érotiques. Il m’a dit qu’il enseignait l’art de la fellation à des prostituées. Je lui ai donné une mention très honorable. Mais, rien à faire, je préfère une femme, même inexpérimentée. Surtout, jamais je n’ai pu toucher un homme sans qu’il y ait entre nous une femme. J’en suis là, mais je me dis qu’un jour j’essaierai peut-être de sauter ce dernier obstacle.
— Tu sais pas ?Il nous amuse aussi en maudissant « ces femmes qui nous piquent nos hommes ». Puis il raconte un traquenard de la Saucisse et sa copine, une blonde vraiment canon, qui l’ont toutes deux coincé dans le lit d’une maison de campagne. Ce jour là, elles ont tout essayé mais il n’a pas pu bander. On évoque aussi un jeune couple archi-coincé, lui est un toubib débutant plein de fric et de complexes, elle une magnifique femme sauvage.
— Euh, quoi ?
— Eh ben, Zacquot, il m’a refait mes zacquettes…
— Ah oui, et alors ?
— Alors, depuis ce zour, ze zozotte plus !
— Je vais me la faire. Il la mérite pas, ce con.Nous l’avons invité parce qu’il est officiellement homo, très beau et toujours en train de déconner. Il m’a détartré les dents gratuit avec son petit crayon à ultrasons.
— Jacques, si tu lui fais l’amour, pense très fort à moi au moment de jouir !
— Mais je pense toujours à toi, mon chou.
— Je te fais pas mal au moins ?Voilà, ça va durer comme ça tout le week-end. En fait, c’est plus sérieux, j’ai envie de savoir pourquoi j’ai tellement horreur de l’homosexualité. Il y a un vieux souvenir qui remontera lorsque nous serons plus proches : j’ai 13 ans, au pensionnat on nous oblige à aller chez le coiffeur de la maison une fois par mois, mais ce coiffeur est un sale type qui se frotte la bite contre nos épaules. Et moi comme les autres je le laisse faire, d’ailleurs je ne sais pas vraiment ce qu’il fait, sauf que ça me met vraiment mal. Je ne suis jamais retourné chez un coiffeur depuis cette époque. Plus tard, à quinze ans, j’éprouve des impressions bizarres face à un grand musicien blond qui me fascine et me terrorise. Quelque chose qui ne veut pas se dire ou ne veut pas sortir. Alors, aujourd’hui, à 22 ans, je veux affronter tout cela, comprendre. J’ai une femme avec moi pour me protéger, une femme extraordinairement belle car j’ai beaucoup de chance.
— Non, c’est génial !
— Mais, tu sais, je mouille beaucoup. Et puis, je vais te dire, ma spécialité c’est de boucher les trous.
[HARD] Il n’y avait pas de meuble dans notre appartement. Juste une épaisse moquette couleur de feu, achetée d’occasion. Il était allongé, nous assis à ses côtés. Nous nous sommes mis nus. Il a ouvert les yeux et a dit : « Mon dieu, que vous êtes beaux ! » Puis il a quitté ses habits lui aussi. J’ai vu son sexe se dresser quand elle l’a caressé. Il l’a embrassée longuement, puis il s’est allongé sur moi en posant ses lèvres sur les miennes. J’ai un peu desserré les dents. J’ai senti son sexe dur s’entrechoquer avec le mien. C’était drôle mais je n’ai pas aimé ; je n’ai pas aimé sa bouche, sa langue, non, rien à faire, je ne peux pas être attiré par un homme, même celui-là si beau, si drôle, avec une peau douce comme celle d’une femme. Alors je me suis allongé à son côté. Je l’ai regardé caresser la belle femme. Ah, quand même, il apprécie… Puis j’ai pris son sexe dans la main pour en sentir la consistance. Mais plusieurs fois il m’a dit que je le serrais trop fort. Je me demande si, inconsciemment, il n’y avait pas quelque chose en moi qui cherchait à détruire ce sexe, au point que je ne sente pas ma force. La bite du coiffeur, peut-être. J’ai abandonné cette caresse. Il est allé vers la femme et s’est allongé sur elle. J’ai vu leurs sexes très proches, c’était magnifique. Mais, à un moment, bizarrement, il a dit un mot qui rompait la magie. Elle n’a plus voulu de lui en elle. Il s’est allongé sur le côté, face à elle, entre nous deux. La suite, je ne peux pas la raconter sans changer de catégorie. ;-) [/HARD]
Nous avons passé un beau dimanche, dans les rues, lui essayant de nous persuader qu’il y a bien plus d’hommes que de femmes consommables. Ouais… Puis nous sommes rentrés pour d’autres jeux érotiques. Il m’a dit qu’il enseignait l’art de la fellation à des prostituées. Je lui ai donné une mention très honorable. Mais, rien à faire, je préfère une femme, même inexpérimentée. Surtout, jamais je n’ai pu toucher un homme sans qu’il y ait entre nous une femme. J’en suis là, mais je me dis qu’un jour j’essaierai peut-être de sauter ce dernier obstacle.